Parlant de la culture de la paix dans le monde d’aujourd’hui ce n’est pas si facile et si évident non plus. Notre monde actuel est blessé, il a vraiment besoin de la paix véritable et durable. Nous le savons bien que cela nous vient de l’unique Jésus-Christ qui est prince de la paix.
En effet, ce temps de carême tous sommes – nous invités à regarder le monde avec un autre regard. Durant ce temps de carême, une réflexion nous est faite à notre paroisse Saint THOMAS à Vaulx en Vélin par notre vicaire Père Charles sur : « Le carême, temps de la célébration de l’évangile de la vie ».
Nous constatons aujourd’hui que la vie humaine est banalisée, et nous voyons comment les êtres humains sont maltraiter et considérer dans la société. Tous nous sommes invités de réfléchir sur la célébration de la vie humaine dans la perspective de l’encyclique du Pape Jean Paul II « Evangelium Vitae ». En effet, Evangelii Vitae, est une défense contre toutes les atteintes portées à la « valeur et l’inviolabilité de la vie humaine ».
Nous sommes contentes de cette invitation que nous fait le pape à « célébrer l’Evangile de la vie […], célébrer le Dieu de la vie, le Dieu qui donne la vie ». Nous nous posons la question comment devons-nous le vivre, la réponse n’est-ce pas par la prière, la solidarité mutuelle, etc.
Ce temps de carême nous est donné de suivre les pas de Jésus en faisant l’expérience du passage de la « culture de la mort » à « la culture de la vie ». C’est bien ça la célébration de l’Evangile de la vie à laquelle le pape nous invite.
Plusieurs gens qui ne donnent pas la valeur ni la dignité à l’être humain, oublient que Dieu est le seul créateur qui donne et peut ôter la vie d’une personne humaine.
Nous faisons une expérience contraire de ce que le Seigneur notre Dieu a voulu pour nous que la vie doit être défendue dès son commencement jusqu’à la vieillesse. La sainte Ecriture et la loi Divine nous dit, ne jamais mettre la met sur la personne qui est l’être Sacré.
Que ce temps de carême nous aide à aimer les autres comme Dieu le premier nous a aimé, afin de continuer à célébrer davantage l’Evangile de la vie.
Marcelline Mubata PSA
